
Faire des pompes, c’est l’exercice de renforcement musculaire basique que nous sommes des millions à pratiquer à travers le monde. Mais avons-nous déjà fait des pompes en pleine conscience ? Que vient faire la méditation en pleine conscience lorsqu’il s’agit de faire un exercice pour le corps ? En fait, la méditation a un lien très fort avec le corps (voir « comment bien méditer : le corps » ). Un corps avec lequel elle nous reconnecte. Découvrons ensemble, les pompes en pleine conscience.
Préparation pour faire les pompes en pleine conscience
Tout d’abord, avant de commencer à faire des pompes en étant pleinement conscient de nos sensations corporelles, nous allons tranquillement prendre conscience de notre respiration en la laissant aller et venir. En lui laissant tout l’espace et la place qu’elle mérite ( voir « comment bien méditer : la respiration ».)
Ensuite, nous allons passer doucement au sol, en fléchissant les jambes et en s’asseyant: les fesses sur les talons, le dos droit et la tête relevée (on peut disposer un tapis ou un coussin sous ses genoux pour plus de confort).
Pour commencer, vous allez poser le plus lentement et le plus précisément possible vos mains devant vous, comme si vous vouliez vous coucher à plat ventre. Tout votre corps se positionne doucement vers l’avant, mais vos genoux restent au sol pour l’instant. Maintenant, prenez appui sur vos bras tendus, avec toujours le contact de vos genoux au sol. Votre ventre légèrement contracté pour soutenir la position. Prenez conscience de cette position. Et prenez conscience de votre souffle.
Toujours avec les bras tendus, le torse et le ventre contractés, vous allez étendre votre jambe gauche lentement. Vos orteils fléchis entrent en contact avec le sol. Faites la même chose avec la jambe droite, avec le même souci de lenteur et de précision.
Pompes en pleine conscience : une descente lente et contrôlée
Dans cette position, en appui sur les bras et sur les jambes, prenez conscience de la tension dans vos triceps, vos épaules, votre torse, votre sangle abdominale et vos quadriceps. Regardez droit devant vous, pour mieux laisser l’air entrer et sortir de vos narines. L’exercice qui suit consiste à faire 10 pompes avec une petite pause entre chaque. Mais vous verrez que c’est difficile, donc si vous n’avez pas l’habitude de faire de la musculation (dips, pompes, développé couché…), gardez vos genoux au sol. Maintenant, vous allez fléchir tout doucement vos bras, le plus lentement possible en étant conscient de chaque sensation corporelle dans vos muscles et vos articulations : poignet, avant-bras, triceps, torse, abdominaux, lombaires, aine, fessiers, quadriceps, mollets, orteils. Sentez votre corps qui se contracte. Et descendez du mieux que vous pouvez en regardant droit devant vous, en respirant par le nez. Mais respirez aussi par la bouche dès que vous en ressentez le besoin.
Méditer pour mieux remonter
Une fois arrivé à la flexion complète des bras, vous allez « enfoncer vos mains dans le sol » et pousser sur vos bras lentement. C’est un passage difficile : votre respiration tranquille vous aide à accepter cette douleur. Remontez votre corps contracté, le regard droit. Ressentez chaque muscle en essayant d’aller doucement même si la difficulté de l’exercice vous incite à accélérer la poussée pour en finir au plus vite. Accueillez la douleur, l’impatience. Et remontez complètement, dans la position de pompes du départ. Reposez vous en étant attentif à votre respiration: jambes fléchies, assis les fesses sur vos talons, le dos droit et la tête relevée. Répétez 10 fois ce processus de pompes en pleine conscience. Cet exercice peut très bien être incorporé dans le cadre d’un entrainement de musculation naturelle pratiquée par les jiu-jitsuka brésiliens. Voilà, vous avez médité tout en faisant du sport grâce à cet exercice exigeant pour le corps et pour l’esprit. D’ailleurs la méditation est un formidable outil de transformation physique et mentale: voir l’article « pourquoi méditer » ?
Nous sommes nombreux à ne pas faire la différence entre aliment et produit alimentaire. Alors un aliment c’est quoi?
Pour faire simple on peut résumer en disant que les aliments sont les végétaux, les fruits de mer/ poisson et la viande. En clair tout ce que l’on trouve dans la nature et que l’homme n’a pas besoin de transformer !
Lorsque nous faisons nos courses au supermarché, on constate rapidement que la place des aliments est bien faible comparée à l’espace consacré aux produits alimentaires transformés par l’industrie.
Pourquoi devrait-on éviter de consommer ces produits transformés ?
Pour mettre en avant les risques d’une consommation excessive de ces produits, je vais m’appuyer sur « Nutrition, and Physical Degeneration : A Comparison of Primitive and Modern Diets and Their Effects (Nutrition et Dégénérescence Physique : une comparaison entre alimentations primitives et modernes et leurs effets) » de Weston PRICE. Un ouvrage clef de la nutrition.
Pour son étude, PRICE a comparé l’alimentation de peuplade primitive à celle des pays développés. Son constat est accablant. Dès qu’elles abandonnent leur alimentation traditionnelle au profit de céréales (raffinées ou non), de sucre, ces peuplades souffrent des mêmes caries que les occidentaux et leur santé chute.
L’ouvrage de WESTON PRICE est accessible gratuitement, mais seulement en anglais: http://journeytoforever.org/farm_library/price/pricetoc.html
Le sucre une drogue comme les autres?
La question peut paraitre choquante mais lorsque l’on réfléchit au processus de raffinage du sucre (ou de la farine blanche), tout devient plus clair. En effet, si l’on prend l’exemple de l’héroïne nous avons à la base une plante (le pavot) inoffensive mais qui à force de transformation deviendra de l’opium, puis de l’héroïne. Ce processus est comparable au sucre qui nous vient de la canne à sucre ou de la betterave qui après un cycle de raffinage devient une belle poudre blanche. Une poudre blanche qui a bon goût et qu’on peut se procurer facilement. La porte est alors ouverte à une addiction avec les conséquences que nous connaissons pour notre santé.
Même si je le mets en première ligne, le sucre n’est pas le seul aliment transformé à éviter. En effet, les produits laitiers (exception faite du lait cru) subissent un nombre important de transformations avec un impact négatif sur notre santé s’ils sont consommés en trop grande quantité.
Les huiles végétales, si l’on excepte l’huile d’olive que l’on peut presser à froid, sont obtenues par un procédé appelé trituration qui dénature les aliments : ils sont donc à éviter !
Pour finir parlons un peu des céréales. Pour ma part je les consomme uniquement complètes. Cependant lorsque l’on sait que l’Égypte ancienne était une grosse pourvoyeuse de céréales complètes et que ses habitants connaissaient déjà bien des maux du monde moderne, on peut se demander si l’on ne devrait pas minimiser notre consommation de céréales.
Évitons ce qui est trop blanc ou qui sort tout prêt d’un sachet !
Pour combattre les effets néfastes de ces produits transformés et la pauvreté en oligo-éléments et vitamines de ces derniers, il existe bien une solution: CUISINEZ et privilégiez les produits NON RAFFINES!!! J’imagine déjà en écrivant ces lignes ces mères de familles hyperactives se disant « il est bien gentil , mais je n’ai pas le temps ». Prenez alors le problème autrement, le temps passé à cuisiner ne peut-il pas être un moment privilégié en famille où l’on ferait participer les enfants ou encore un moment pour soi où l’on pourrait méditer en épluchant ses légumes. Mieux vivre c’est aussi prendre le temps. Dans cette société de surconsommation où l’on nous propose toujours plus de pré-mâché, de tout prêt, prenons le temps de cuisiner pour notre famille, nos amis … Notre corps nous remerciera ! Sans compter que moins de produits industrialisés c’est aussi moins d’emballage et donc moins de coût énergétique pour les transformer. Notre planète en a aussi bien besoin !
Pour conclure, je dirai que je suis tout à fait conscient que cette vision va à contre-courant des recommandations actuelles qui nous enjoignent à consommer plus de céréales et de produits laitiers…
Mais ces conseils sont-ils salutaires pour la santé publique ou font-ils les bonnes affaires du lobbying de l’industrie agro-alimentaire ? …
J’ai découvert il y a quelque temps la ginastica natural, une méthode de remise en forme inspirée du jiujitsu brésilien.

Cette méthode de musculation naturelle m’a séduit de part son aspect fonctionnel et la possibilité de l’utiliser partout !
Comment la ginastica natural peut elle vous aider à perdre du poids ?
Pour perdre du poids en faisant du sport, il est fondamental de mobiliser au minimum deux tiers de son corps. Sur ce point la » ginastica natural » se montre imbattable puisque le corps tout entier est constamment en mouvement. La pratique au sol n’est pas habituelle, la mobilité s’en trouve donc réduite. C’est pourquoi la dépense calorique pour se déplacer est beaucoup plus importante.
Nous avons donc ici une méthode qui va nous permettre de dépenser un maximum de calories, sans matériel!
Les points forts de la ginastica natural:
Cette méthode à la base créée pour la préparation physique des combattants est tout à fait transposable au grand public de 7 à 77 ans. Au brésil la ginastica natural est déjà utilisée pour les cours collectifs dans les centres de remise en forme.
Au delà de la perte du poids, cette méthode de musculation naturelle se montre un outil idéal pour maintenir et développer la coordination motrice, la souplesse et l’endurance cardio-vasculaire.
Comme nous l’avons vu dans un précédent article, il peut être intéressant de méditer en faisant du sport : les mouvements utilisés dans cette méthode s’inscrivent parfaitement dans cet esprit où il est tout à fait pertinent de réaliser les exercices en pleine conscience afin d’en tirer le meilleur parti.

La pratique du sport est parfois contraignante et tout le monde n’a pas forcément un rapport amical avec l’activité physique. Pourtant, on pourrait envisager le sport autrement : surtout quand on débute ou qu’on reprend après un arrêt relativement long. Méditer peut nous donner une autre vision de la pratique sportive et nous permettre d’être concentré, plus indulgent avec soi-même et plus résistant à la douleur.
Méditer en s’échauffant et pendant les temps de repos
Quand on fait du sport, quel qu’il soit, la concentration est importante pour plusieurs raisons : la bonne exécution du mouvement, la prévention des blessures, et même la performance sportive… C’est pourquoi il peut-être intéressant de faire un détour par son corps avant d’aller faire sa séance de sport. (voir l’article « comment bien méditer sur le corps »). Mais vous pouvez également méditer pendant que vous faites du sport: ça peut paraître bizarre car la méditation est souvent liée à l’immobilité ou du moins à la lenteur. Alors comment méditer en faisant du sport ?
L’échauffement, au-delà de son importance pour bien préparer le corps à l’effort, peut-être un instant privilégié pour ressentir son souffle, sa posture, les sensations de son corps. En se focalisant uniquement sur cela, sans se projeter sur l’entrainement plus dur qui nous attend. Profitez de ce moment pour être pleinement concentré sur votre corps. Et en vous échauffant, faites du mieux que vous pouvez pour avoir une posture droite mais sans raideur, la tête légèrement relevée. Faites des mouvements précis et un peu plus lents que d’habitude. Respirez par le nez. C’est notre respiration naturelle. Vous pouvez également profiter de vos temps de repos pour méditer : en restant immobile tout en méditant sur sa respiration, en marchant lentement, ou en vous étirant doucement. Mais méditer en faisant du sport peut aussi nous aider à mieux accepter la douleur de l’effort et à être plus indulgent avec soi-même…
Méditer pour accepter la douleur de l’effort
Une courte méditation avant de commencer le sport peut nous aider à être dans l’instant présent au moment où l’activité s’intensifie. En effet, quand on fait du sport, même sans être sportif de haut-niveau de l’inconfort, de la douleur peuvent apparaître. Mais si on essaie de se concentrer sur sa respiration et sa posture, on pourra alors accueillir la douleur dans le champ de sa conscience. Et considérer cette douleur comme normale : « Je suis en train de faire du sport, je respire, j’ai conscience de ma posture: un essoufflement, une douleur surviennent. C’est normal, je suis en train de faire du sport! J’accepte cette douleur avec bienveillance et je me reconnecte à ma respiration et à ma posture. »
Toutefois, si la douleur est vraiment trop importante, c’est peut-être le signe qu’il faut ralentir un peu ou corriger sa posture. Dans tous les cas, ne vous dites pas : « je suis déjà fatigué, je suis nul ! ». Au contraire, acceptez cet état et soyez indulgent avec vous même. Acceptez de ne pas être parfait dans votre pratique sportive, mais faites du mieux que vous pouvez, tout en écoutant votre respiration et votre corps.

On peut méditer en buvant son thé. Ou son café. Son jus d’orange… Cela peut paraître un peu simple car on a souvent l’habitude d’entendre parler d’une méditation mystique. Une méditation avec des connotations presque surnaturelles. Mais méditer, c’est beaucoup plus simple que cela. Vous êtes peut-être en train de méditer. Sans le savoir. Ce qui est sûr, c’est qu’on peut très bien méditer en buvant son thé. Et ce serait même bien de le faire.
Un thé vite fait ou un thé en pleine conscience ?
Le thé, et à plus forte raison le café, on a l’habitude de les boire vite. Pas forcément pour se débarrasser mais parce qu’on est souvent pressé. C’est notre carburant du matin pour démarrer la journée. C’est aussi parfois notre soutien de 10 heures, du début d’après-midi, du milieu d’après-midi… Le thé ou le café sont de fidèles alliés pour beaucoup d’entre nous. Ils nous permettent d’être plus concentrés. Grâce la caféine contenue dans les deux boissons et la l-théanine qu’on ne trouve que dans le thé. Et puis il y a aussi l’odeur puissante et rassurante du café, le goût subtil du thé. Et si on prend le temps de regarder, les volutes qui sortent de nos tasses fumantes. Finalement en y réfléchissant notre thé, notre café peuvent nous réveiller et au-delà nous éveiller à l’instant présent. Alors pourquoi devrait-on boire son thé ou son café sans respecter ce bien précieux qu’ils nous apportent. Pourquoi ne pas méditer et profiter de ce moment en pleine conscience ?
Un exercice pour méditer : boire un thé en pleine conscience
Pour méditer, il ne faut pas grand chose: du thé, une tasse, de l’eau chaude. Et une attention bienveillante envers ses sensations et ses émotions. D’abord, écoutez votre souffle et ressentez votre corps quelques secondes (voir l’article « Comment bien méditer : la respiration »). Et en appuyant délicatement sur le bouton actionnant votre bouilloire, ressentez le contact de votre doigt sur l’appareil. Allez doucement et faites du mieux que vous pouvez. Observez le tranquillement. La bouilloire également. Soyez conscient que vous être en train de préparer du thé. Écoutez le son que fait l’eau en chauffant.
Ne cherchez pas à atteindre une sorte d’état spécial. Méditer est plus simple qu’on peut le croire. En versant l’eau, sur votre sachet ou vos feuilles de thé, prenez votre temps. Laissez l’eau couler et se déverser tranquillement dans votre tasse ou votre bol. Laissez le thé infuser et observez le changement de l’eau qui se colore et change d’aspect. Prenez conscience de cette impermanence : l’eau qui devient du thé. Observez le cycle des volutes de fumées qui s’élèvent et s’évanouissent dans l’air. Essayer d’oublier la notion du temps. Juste le temps de déguster votre thé en pleine conscience.
Pour votre première gorgée, essayer de garder un peu de thé quelques secondes dans votre bouche. Et appréciez le goût qu’il offre à vos papilles, votre langue, peut-être même à l’intérieur de vos joues, sur votre palais. Puis avalez doucement votre gorgée. Et essayez de déguster toute votre tasse comme cela, lentement et consciemment…
Peut-être qu’on ne pourra pas boire son thé en pleine conscience tous les jours. Mais c’est un exercice à faire dès qu’on le peut. Sans se forcer. Et c’est assez rassurant de se dire qu’on peut méditer simplement en buvant son thé. D’ailleurs, on peut même méditer en faisant la vaisselle !
Le sirop d’agave est un extrait de la sève d’un cactus mexicain , en plus d’être délicieux il est un substitue naturel très intéressant pour tout ceux qui cherche à perdre du poids.
Découvrez ce super aliment au multiple possibilité d’utilisation.
Qu’est ce que le sirop d’agave?
Il existe plusieurs centaines d’espèces de la plante d’agave. L’agave a été cultivé pendant des siècles, d’abord par la population amérindienne, puis en Europe, lorsque les plants d’agave ont été ramenés par les Espagnols et les Portugais au 17ème siècle.
L’agave est une plante succulente qui pousse dans le sud et l’ouest des États-Unis,en Europe centrale et Amérique du Sud tropicale. Les agaves ont de grandes feuilles épaisses et charnues, chacune se terminant généralement par une pointe effilée.
Chaque rosette d’agave se développe lentement et ne fleurie qu’une seule fois. Lorsque l’agave est prêt une grande tige se développe à partir du centre de la rosette de feuilles et produit un grand nombre de fleurs tubulaires courtes. Après le développement du fruit, la plante d’origine meurt, mais des pousses sont souvent produites à partir de la base de la tige qui deviennent de nouvelles plantes.
Quatre grandes parties de la plante d’agave ont des usages culinaires. Les fleurs sont comestibles et peuvent être jetés dans les salades. Les feuilles sont riches en sève et peuvent être consommées. Les tiges peuvent être grillées avant leur floraison et dégagent une douce saveur.
Le sirop d’agave se rapproche du miel de part sa couleur, mais avec un goût plus doux et une texture moins visqueuse. Il contient du fructose ce qui lui donne un fort pouvoir sucrant (jusqu’à deux fois plus que le sucre de canne!). La quantité de sirop d’agave peut donc être réduite tout en gardant le goût sucré; ce qui permet de réduire le nombre de calories de vos préparations!
Le sirop d’agave et l’indice glycémique :
Le sucre est un édulcorant transformés qui n’a aucune valeur nutritive, autre que les calories. Alors que le sirop d’agave, par rapport aux autres édulcorants, a un indice glycémique faible. Cela signifie que lorsqu’il est consommé, il ne provoquera pas une forte hausse ou une baisse de la glycémie.
Voici une liste des édulcorants et leurs index glycémiques correspondants. Plus la valeur est élevée, plus l’impact sur la glycémie est important.
Index glycémique
- Sirop d’Agave 27
- Fructose 32
- Lactose 65
- Miel 83
- Saccharose (sucre) 92
- Glucose 137
- Maltodextrine 150
- Maltose 150
Remplacer le sucre par le sirop d’agave :
Vous pouvez parfaitement remplacer le sucre par le sirop d’agave dans la plupart des recettes.
Utilisez environ 1/3 de tasse de sirop d’agave pour chaque tasse de sucre. Réduisez les ingrédients liquides dans les recettes, si vous utilisez le sirop d’agave liquide (la poudre d’agave est également disponible).
Réduisez la température du four de 25 degrés.
Sirop d’agave et santé :
Le sirop d’agave contient des saponines et des fructanes que l’on trouve aussi dans le quinoa. Ces derniers ont des propriétés anti-inflammatoires , immunitaires et antimicrobienne. En fait, les Aztèques utilisaient le sirop d’agave pour soigner les blessures en raison de ses propriétés antibactériennes.
Le sirop d’agave une réussite de l’industrie agro-alimentaire :
Avec un index glycémique très faible le sirop d’agave s’est très vite positionné comme une alternative naturelle à l’aspartame tant décrié ces dernières années. En effet on le trouve dans tous les rayons diététiques des supermarchés ou des magasins bio. Mais doit on se méfier de ce super aliment ?
Mon avis sur le sirop d’agave:
Comme tout nouveau produit nous avons peu de recul quant à d’éventuels effets néfastes sur notre santé. Cependant nous savons qu’il contient une dose importante de fructose, et que ce dernier consommé en excès peut causer des maux de ventre et des diarrhées. Il me parait donc souhaitable de ne pas exagérer dans les doses consommées quotidiennement. Usez de tout n’abusez de rien….
Une des critiques les plus souvent exprimées à l’encontre du sirop d’agave est l’augmentation des triglycérides qu’il causerait. Il est vrai que le fructose, comme tous les sucres sont métabolisés par le foie en triglycérides lorsqu’ils sont en excès, mais ceci est vrai pour TOUT LES SUCRES!!! Et puisque son pouvoir sucrant est supérieur à celui du sucre le risque d’en avoir en excès dans l’organisme est moindre.
La forme que prend le fructose dans le sirop d’agave est particulièrement intéressante. Il s’agit de l’inuline qui agit comme une « fibre » plutôt que comme un sucre, contribuant ainsi à constituer une flore intestinale favorable et à améliorer l’absorption du magnésium et du calcium.
Pour conclure je dirais qu’il ne faut pas oublier que le sirop d’agave reste avant tout un sucre, mais que sont faible index glycémique et son fort pouvoir sucrant en font une excellente alternative au sucre de table! Il pourra être utilisé pour sucrer vos thé, café, yaourt mais aussi pour vos plats sucrés/salés.
Pourquoi devrais-je méditer ? Et bien, pour répondre à cette question, observons notre vie objectivement… Jusqu’à maintenant, quels ont été nos objectifs ? Et surtout quels seront nos objectifs pour la suite ? Nous avons tous nos défauts et nos qualités. Mais est-ce vraiment ce qui constitue notre être ? La méditation peut nous aider à retrouver notre vraie nature…
Méditer pour changer
La plupart des êtres humains se posent au moins une fois, au cours de leurs vies, les questions suivantes: qu’est-ce que je pourrais améliorer dans ma vie actuellement ? Que pourrais-je changer pour être plus heureux ? Mais peut-être ne vous retrouvez-vous pas dans ces interrogations… Si vous trouvez que votre vie est parfaite actuellement, vous n’avez pas besoin de méditer… Mais en étant sincère avec soi-même, qui peut dire qu’il ne voudrait rien voir changer dans sa vie ? Que ce soit au niveau professionnel, personnel, relationnel, la méditation peut nous aider à changer doucement et en profondeur. Car méditer, c’est changer ! Et c’est un changement physique et tangible. Mesurable. Méditer modifie notre cerveau par le biais de la neuroplasticité cérébrale. Voyons donc à présent, quels sont les bienfaits de la méditation en pleine conscience (Mindfulness).
Méditer: les bienfaits
Méditer apporte des bienfaits approuvés par la science : les deux principaux sont la réduction du stress et la prévention des rechutes dépressives.
Méditer en pleine conscience va nous permettre de réduire notre stress. Aux États-Unis, le protocole MBSR(Mindfulness Based Stress Reduction) est utilisé dans de nombreux hôpitaux depuis des années, pour aider les patients à lutter contre le stress. C’est le docteur Jon Kabat-Zinn qui a eu l’idée de ce protocole scientifique afin d’enlever le côté bouddhiste que pouvait avoir la méditation. En France, ça donne : réduction du stress par la méditation en pleine conscience. Et de nombreux spécialistes de la santé mentale s’y sont intéressés et le pratiquent avec leurs patients : le psychiatre Christophe André, le chirurgien et psychothérapeute Thierry Janssen ou encore la psychologue clinicienne Jeanne Siaud-Facchin, pour ne citer qu’eux.
Le second protocole toujours en provenance des Etats-Unis s’appelle MBCT (Mindfulness Based Cognitive Therapy) et c’est un dérivé du MBSR. Ce protocole de méditation en pleine conscience s’intéresse à la lutte contre la dépression ou plus précisément à la prévention des rechutes dépressives. Il a été créé par un trio de docteur en psychologie: Zindel Segal, Mark Willams et John Teasdale.
Il existe d’autres bienfaits moins connus de la mindfulness. Maintenant que vous savez pourquoi méditer, vous devez vous demander comment méditer ?
La L-théanine, acide aminé qu’on trouve dans le thé, possède de nombreuses vertus souvent méconnues mais pourtant très intéressantes pour notre santé. Une nouvelle pierre à l’édifice de notre santé holistique. En effet, la L-théanine est un super atout aussi bien pour le corps que l’esprit !
Présentation de la L-théanine
Il n’est plus à prouver que le thé possède des propriétés antioxydantes. Mais on parle moins de la L-théanine: un acide aminé contenu dans les feuilles de thé. Découvert au Japon, la L-théanine est très efficace pour la détente et la concentration. Et sans l’effet excitant que peut avoir la caféine!
La L-théanine pour se relaxer
D’après plusieurs études scientifiques, la L-théanine a un effet apaisant car elle agit sur les ondes d’impulsions électriques du cerveau de manière positive. En effet, prendre de 50 à 200 mg par jour de L-théanine provoque la création d’ondes alpha dans le cerveau. Il s’agit des même ondes émises lorsqu’on prend un bain chaud, qu’on se fait masser ou quand on est en train de méditer. Pourtant, cet état de relaxation n’entraine pas de somnolence: la L-théanine ne produit pas les ondes thêta qui en sont responsables. Contrairement au mulungu, la L-théanine ne favorise pas directement le sommeil mais elle joue sur la libération de dopamine et de sérotonine: des neurotransmetteurs qui favorisent la détente et le bien être. D’ailleurs d’autres plantes comme le griffonia agissent sur le taux de sérotonine.
L-théanine et sommeil
L-théanine n’est pas un sédatif, mais elle nous offre un sommeil plus profond sans augmenter sa durée. D’après des études faites sur de jeunes en très bonne santé, la prise la veille de 200mg de L-théanine a entrainé une sensation de repos accrue et une amélioration de l’humeur.
L-théanine et concentration
L-théanine est efficace pour améliorer notre concentration et la capacité d’apprentissage et de mémorisation. Dans des situations exigeantes, prendre de la l-théanine permet d’apprendre plus facilement et de mieux se souvenir.
Des études concernant des individus ayant des troubles cognitifs légers, ont montré l’efficacité de la L-théanine sur l’amélioration de leur mémoire.
L-théanine: posologie
Pour 100 à 200 mg de L-théanine, il faut compter environ 5 tasses de thé vert de qualité, après une longue infusion. Donc vous pouvez prendre de la L-théanine sous forme de:
- thé vert
- de complément à base de L-théanine, en respectant bien les doses prescrites par le fabricant

Dans l’émission Rendez-vous en terre inconnue diffusée le 27 décembre 2012, Frédéric Lopez conviait Zabou Breitman à rencontrer le peuple des Nyangatom : un peuple semi-nomade du Sud Ouest Éthiopien. Un peuple de guerriers ! Frappé par la condition physique de ces guerriers, Holifit vous propose de faire du sport comme un Nyangatom.
Les Nyangatom marchent beaucoup
En observant la silhouette des Nyangatom, on se rend très vite compte qu’ils doivent avoir une très bonne condition physique. Tous les hommes de la tribu arborent une parfaite sangle abdominale et un physique de tri-athlète ou de marathonien. Pourquoi ? Et bien, en tant que peuple semi-nomade, les Nyangatom sont amenés à se déplacer très souvent. De plus, les hommes ont la charge de l’élevage des bêtes. Ils doivent amener leurs troupeaux là où se trouvent des pâturages abondants. Et c’est au prix de longues marches… Bien évidement, il n’est pas question pour nous de faire des dizaines de kilomètres mais pour faire du sport en nous inspirant des Nyangatom : marchons, courrons, mais cessons d’être sédentaires !
La danse très sportive des Nyangatom

Au cours de l’émission Rendez-vous en terre inconnue, un passage était consacrée à la danse guerrière et rituelle des Nyangatom. Une danse très physique qu’ils pratiquent tous les soirs. Et quand on voit l’intensité qu’ils y mettent on est forcé de constater qu’il s’agit, au-delà du rite et de la tradition, d’une vrai pratique sportive. Cette danse est très explosive et basée sur des bonds : elle s’approche du travail en pliométrie. Et ça vaut bien une séance intense de fitness ! Mais pour les occidentaux que nous sommes, à la place de cette danse guerrière: on peut très bien faire des bonds, de la corde à sauter, des sprints… Voilà, vous pouvez maintenant vous inspirez de ce peuple guerrier et faire du sport comme un Nyangatom !
On a tous tendance à prendre le prétexte du nouvel an pour prendre de bonnes résolutions, ces dernières sont souvent éphémères car trop difficile à tenir ! J’ai choisi de vous donner une liste de 10 bonnes résolutions qui pourront vous aider à mieux vivre tout en respectant la planète !

De quoi changer du traditionnel arrêt de la cigarette, moins manger ou faire du sport, non pas que ces objectifs soient mauvais, mais simplement parce qu’il me semble plus efficient de se donner des objectifs plus faciles à atteindre et ainsi éviter le découragement !!
Voici donc une liste non exhaustive de 10 bonnes résolutions qui pourraient bien changer votre quotidien !
1- Manger moins de viande
2- Ne plus utiliser les ascenceurs
3- Ne pas utiliser sa voiture pour les trajets inférieurs à 1 km
4- Méditer 10 minutes par jour
5- Instaurer une journée par semaine sans voiture
6- Manger le plus possible local et de saison
7- Éviter l’achat de produits jetables
8- Pratiquer et encourager le recyclage
9- Faire 30 minutes d’activité physique par jour
10- Cuisiner soi même et diminuer sa consommation de produits industrialisés
Maintenant à vous de piocher dans cette liste. N’hésitez pas à donner vos idées de bonnes résolutions dans les commentaires!
Et surtout n’oubliez pas de profiter de l’instant présent!! Bonne année 2013 à tous !!